Auteur : Anna Carey
Titre en anglais : Eve
Titre en français : ?
Série : Eve (tome 1/3)
Lu : en anglais
Synopsis :
Where do you go when nowhere is safe?
Sixteen years after a deadly virus wiped out most of Earth’s population, the world is a perilous place. Eighteen-year-old Eve has never been beyond the heavily guarded perimeter of her school, where she and two hundred other orphaned girls have been promised a future as the teachers and artists of the New America. But the night before graduation, Eve learns the shocking truth about her school’s real purpose - and the horrifying fate that awaits her.
Fleeing the only home she’s ever known, Eve sets off on a long, treacherous journey, searching for a place she can survive. Along the way she encounters Arden, her former rival from school, and Caleb, a rough, rebellious boy living in the wild. Separated from men her whole life, Eve has been taught to fear them, but Caleb slowly wins her trust... and her heart. He promises to protect her, but when soldiers begin hunting them, Eve must choose between true love and her life.
Mon avis:
Voilà le premier tome d’une nouvelle série dystopique bien sympathique.
Le contexte est assez sombre. Il s’agit d’une Amérique du futur dont la plus grande partie des habitants a été décimés, quelques années plus tôt, par un terrible virus, laissant de nombreux orphelins.
Eve, notre héroïne, a grandi dans l’espace confiné d’un orphelinat, entourée de filles à qui on a enseigné, dès leur plus tendre enfance que les hommes n’étaient que sauvagerie, violence et ennuis.
Elle a effectué une brillante scolarité, suivant à la lettre les enseignements de ses professeurs et s’apprête à être diplômée, ce qui lui permettra d’exercer un métier.
Cependant, la veille de la cérémonie de diplômes, elle va découvrir à quoi on l’a vraiment destinée et croyez-moi, cela n’a rien à voir avec son désir de devenir peintre.
Eve va donc s’en fuir et c’est là que les choses sérieuses commencent. En cavale, elle va rencontrer tout un groupe d’autres fugitifs et elle va pour la première fois être confrontée au monde extérieur. L’auteur met d’ailleurs beaucoup l’accent sur les relations entre Eve et les autres personnages et sur sa difficulté à décrypter les codes de la vie sociale. Cet aspect m’a beaucoup plu. J’ai bien aimé la suivre dans ses nouvelles expériences.
La rencontre avec Caleb va également bouleverser toutes ses croyances et elle va petit à petit réaliser que les hommes ne sont pas tous des êtres infréquentables après tout. Ils sont d’ailleurs mignons tous les deux.
De rencontres en rencontres, Eve va pouvoir mettre à l’épreuve tout ce qu’elle a appris et se faire sa propre opinion sur les choses. Il va s’en dire que cela ne se fera pas sans mal. Eve fera des erreurs et certaines auront de graves conséquences.
Le livre est très court, je dirais même trop court. J’aurais aimé avoir des informations supplémentaires sur certains événements. Le peu de descriptions donne un rythme rapide au livre, ce qui est positif, mais j’aurais quand même aimé approfondir certaines choses.
La fin est émouvante et nous ouvre la porte vers de nouvelles aventures.
En conclusion, « Eve » n’est peut-être pas la dystopie du siècle, mais reste un petit roman très agréable que j’ai bien aimé.
Coucou Kyanah !
RépondreSupprimerça a l'air bien sympa même si l'histoire me fait penser à Delirium...
;-)
@Christine: Coucou! Merci pour ton passage. Alors je ne peux pas comparer, je n'ai pas encore lu "Delirium", mais en effet, la question de l'amour est aussi évoquée, mais je pense que c'est fait de façon différente... Ralala... faut vraiment que je lise ce "Delirium"! Bisous
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